Des chercheurs de l’Unige (Université de Genève) ont découvert que les abus laissent une trace biologique dans l’ADN des victimes. Un traumatisme psychologique dans l’enfance peut laisser une cicatrice génétique chez l’adulte. C’est ce qu’ont découvert une équipe de chercheurs genevois en examinant l’ADN d’adultes souffrants de troubles psychiatriques.
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